Je me suis enfin procuré le dernier tome du nouveau cycle de jack CAMPBELL, “Par delà la frontière” (la suite de “La Flotte perdue”. L’occasion de revenir sur ce cycle. Après avoir enchaîné les 6 tomes de la flotte perdue, j’ai continué sur ma lancée avec la suite des aventures de black Jack Geary. Si le premier tome de “Par-delà la frontière” a continué de m’enthousiasmer comme les 6 précédents, j’avoue que le deuxième et troisième m’ont paru un peu fade. Le dernier quant à lui, relève l’interet de ce second cycle. Malgré tout loin d’apporter des réponses, la trame narrative fini par se compliquer. Hâte de lire la suite !
La série “Par-delà la frontière” contient les tomes :
- Intrépide
- Invulnérable
- Gardien
- Inébranlable
- Léviathan
La flotte perdue : Par-delà la frontière – 1. Intrépide
Le capitaine John Geary, dit « Black Jack » rescapé miraculeux d’un sommeil de survie de cent ans, a réussi l’impossible : il a ramené au bercail la flotte de l’Alliance et mis un ternie à la guerre de cent ans qui l’opposait aux Mondes syndiqués. C’est là que nous l’avons quitté à la fin de Victorieux, le dernier livre de « La flotte perdue ». Mais deux menaces restent en suspens : d’une part, l’implosion des Mondes syndiqués fait craindre le chaos dans l’espace colonisé par l’humanité ; d’autre part, au-delà des Mondes syndiqués se tapit une mystérieuse espèce extraterrestre qui est clandestinement intervenue dans la guerre pour conduire les hommes à s’entre-déchirer. Inquiet de la popularité du désormais amiral Geary, le gouvernement de l’Alliance lui confie la double mission de pacifier l’espace syndic et d’enquêter par-delà la frontière sur ces extraterrestres inconnus.
La flotte perdue : Par-delà la frontière – 2. Invulnérable
Le capitaine John Geary, dit « Black Jack », rescapé miraculeux d’un sommeil de survie de cent ans, a réussi l’impossible : il a ramené au bercail la flotte de l’Alliance piégée au cœur de l’espace ennemi des Mondes syndiqués, puis il a mis un terme à la guerre de cent ans qui opposait les deux puissances. C’est là que nous l’avons quitté à la fin de Victorieux, le dernier livre de « La flotte perdue ». Mais une lourde menace reste en suspens : au-delà des Mondes syndiqués se tapit une mystérieuse espèce non humaine qui est clandestinement intervenue dans la guerre pour conduire les hommes à s’entre-déchirer. Inquiet de la popularité du désormais amiral Geary, le gouvernement de l’Alliance lui confie la mission d’enquêter par-delà la frontière sur ces extraterrestres inconnus….
La flotte perdue : Par-delà la frontière – 3. Gardien
« Black Jack » Geary viendra-t-il jamais à bout des épreuves qui se succèdent et s empilent sur son chemin ? À peine sa flotte est-elle revenue de son périple dans l’espace inexploré par-delà la frontière des mondes humains qu’il lui faut intervenir dans le système de Midway tout récemment libéré. Car le pouvoir central syndic, en dépit de sa défaite, n’a pas dit son dernier mot et cherche à reprendre la main… Pourtant, il faut retourner dans l’Alliance, il faut y escorter les délégués de cette espèce extraterrestre qu on nomme désormais les Danseurs, de possibles alliés, mais dont les motivations restent mystérieuses. Il faut y ramener aussi l’Invulnérable, ce gigantesque bâtiment capturé de haute lutte : une prise inestimable. Tout cela sans savoir quelles machinations politiques attendent l’amiral Geary dans sa patrie, sans savoir non plus quelle extravagante requête les Danseurs présenteront à l’humanité.
La flotte perdue : Par-delà la frontière – 4. Inébranlable
Ne croyez pas la Terre, le monde d’origine de l’espèce humaine, désormais à l’abri des complots et des attentats. “Black Jack” Geary, qui vient d’y accompagner les ineffables Danseurs et de découvrir la planète des ancêtres, en fera les frais. Et ce n’est que le premier des obstacles qu’il lui faudra franchir car le gouvernement de l’Alliance, terrifié par sa popularité, le soupçonne toujours de vouloir s’emparer d’un pouvoir qu’il ne veut pourtant pas et ne cesse de lui confier des missions piégées avec des moyens de plus en plus insuffisants. Les politiciens iront-ils jusqu’à ouvrir la boîte de Pandore et briser un tabou séculaire pour arriver à leurs fins, au risque de provoquer la ruine de l’humanité en lui opposant un adversaire que nul ne saurait vaincre ?
La flotte perdue : Par delà la frontière – 5. Léviathan
Jack Campbell – La flotte perdue : Par-delà la frontière – 5. Léviathan
Découvrez sans plus attendre la suite de la saga La Flotte perdue : par-delà la frontière de l’auteur best-seller Jack Campbell.
« Allons-nous filer les vaisseaux obscurs jusque chez nous pour découvrir leur base ?
— Oui.
— Une flotte secrète de bâtiments plus lourdement armés, plus maniables que les nôtres et capables d’une accélération supérieure ?
— Oui.
— Et sous le contrôle d’IA tactiques conçues pour vous surpasser. Vous savez que je vous suivrais jusqu’en enfer si vous me le demandiez. Comme la flotte tout entière, au demeurant. Mais comment, au nom de nos ancêtres, pourrions-nous vaincre cet ennemi ?
— Je n’en sais rien encore, dit Geary. Mais nous devons découvrir sa base, et il nous faudra bien le vaincre si le gouvernement ne se résout pas à débrancher le monstre qu’il a créé. Échouons à le détruire et l’Alliance n’y survivra pas. »N’y a-t-il pas un risque insensé à ce que des robots tueurs intelligents échappent à ceux qui les ont programmés ?
[Livre] “La flotte perdue” de Jack Campbell
“La flotte perdue – 6. Victorieux” de Jack Campbell (19 Août 2010)
Mission accomplie. La flotte perdue est rentrée au bercail. » Black Jack » Geary, promu commandant de cette flotte à l’issue d’une hibernation de cent ans, a réussi l’impossible : la ramener dans l’espace de l’Alliance après avoir infligé à l’ennemi une succession de défaites. C’est en héros qu’il est revenu. Un héros dont le Sénat de l’Alliance se méfie. Son objectif prochain ne sera-t-il pas de s’emparer du pouvoir ? Que faire de lui ? John Geary, pour sa part, prétend que les conditions sont réunies pour mettre un terme à la guerre qui ravage l’humanité depuis un siècle et qu’il est urgent d’y parvenir car aux frontières des mondes syndics guette une menace extraterrestre inconnue. Si les moyens lui en sont accordés, c’est donc un retour décisif au coeur des territoires syndics qui l’attend, ainsi, peut-être, qu’une première confrontation directe avec les mystérieux aliens. Victorieux clôt le cycle de » La flotte perdue « , désormais un pic du space opera militaire. Et la romance contrariée de son héros y trouvera peut-être aussi son compte.
“La flotte perdue – 5. Acharné” de Jack Campbell (29 Janvier 2010)
Elle en a fait du chemin, la flotte perdue, depuis la catastrophe qui s’est abattue sur elle dans le système mère des Mondes syndiqués et depuis que le capitaine Geary en a pris le commandement. La voici désormais à trois sauts du territoire de l’Alliance. Pour la première fois le bout du tunnel est en vue. Mais, en même temps que le retour cesse d’être une chimère, la peur de tout perdre s’accroît. Car la flotte ramène avec elle la révélation de la menace extraterrestre et du danger que les portails de l’hypernet font courir à l’humanité. Et devant la nécessité de réagir vite et fermement se glisse la tentation du coup d’État militaire. À l’issue de ce cinquième roman, la flotte sera revenue chez elle ou ne sera plus.
“La flotte perdue – 4. Vaillant” de Jack Campbell (25 sept. 2009)
Traquée par les Syndics, la flotte de l’Alliance poursuit son repli à travers l’espace ennemi. Le capitaine «Black Jack» Geary tente désespérément de la ramener au bercail avec son trophée, la clef de l’hypernet du Syndic, qui est aussi celle de la victoire. Jamais Geary n’avait pris décision aussi risquée, au point que ses officiers s’interrogent sur sa santé mentale : retourner dans le système de Lakota, où ses vaisseaux ont failli connaître la destruction. Mais tandis qu’il s’efforce de garder une longueur d’avance sur l’ennemi, il lui faut encore affronter une conspiration au sein même de sa flotte, dont les instigateurs restent dans l’ombre. Alors que le rideau se lève sur la menace effroyable qu’une civilisation extra-terrestre inconnue fait peser sur l’humanité. Que les vivantes étoiles lui viennent en aide
“La flotte perdue – 3. Courageux” de Jack Campbell (21 Mai 2009)
Piégée dans l’espace des Mondes syndiqués, la flotte de l’Alliance continue d’errer derrière les lignes ennemies en s’efforçant de regagner son propre territoire. Progressant par sauts de système stellaire en système stellaire, elle réussit tant bien que mal à infliger des défaites aux Syndics en perdant le moins de bâtiments possible. À sa tête, le capitaine John Geary, unique survivant du premier combat de cette guerre de cent ans, ressuscité après un siècle d’hibernation, continue d’inculquer à ses officiers et ses spatiaux des traditions et des tactiques d’autrefois. Or les réserves de munitions et de vivres sont dangereusement faibles et la flotte doit faire escale à Baldur pour se réapprovisionner. Mais ensuite ? Où aller ? D’autant que l’ennemi commence à percer sa stratégie à jour. Et d’autant qu’un tiers inconnu se dévoile peu à peu, capable de détourner un convoi en transit par l’hypernet, de réagir en temps réel aux succès de Geary. qui subodore que le système de l’hypernet pourrait bien avoir été offert à l’humanité par des intelligences extraterrestres. Cadeau bien intentionné ou cheval de Troie procédant de visées inamicales ?
“La flotte perdue – 2. Téméraire” de Jack Campbell (27 Septembre 2008)
« Black Jack » Geary, le héros du passé, est bien vivant et au commande d’une flotte en plein renouveau, réapprovisionnée et réentraînée. Et ses victoires à répétition mettent en difficulté les capitaines réfractaires au renouveau des anciennes traditions de la flotte. Quant à l’énigmatique sénatrice Victoria Rione, son aversion envers les héros providentiels quelque peu dissipée, elle incarne petit à petit la possibilité d’une nouvelle vie pour John Geary. Pourtant c’est d’une nouvelle victoire que viendra un défi aussi inattendu que dévastateur. La flotte ne comptait pourtant pas s’attarder dans le système en déshérence de Sutrah, mais c’était avant d’apprendre que Sutrah V hébergeait des milliers de prisonniers de guerre, condamnés aux travaux forcés à vie. Cela faisait vingt ans que le capitaine Francesco Falco attendait ce moment, lui le flamboyant capitaine choyé des médias, adoré des foules et adulé par ses troupes, injustement privé de combats et de gloire par sa captivité. Signe du destin, la flotte qui venait de le délivrer n’était commandée que par un jeune capitaine, le devoir et le poids des ans commandait donc à Falco le « guerrier » de prendre la tête de cette force et de semer la terreur dans le coeur de l’ennemi !
Héros contre héros, « Black Jack » Geary contre Falco le « guerrier », un duel d’influence s’engage alors pour le contrôle des coeurs et des esprits des capitaines de la flotte. Propagandes et rumeurs, autant de missiles et de lasers font ragent entre chaque engagement, jusqu’au point de rupture. Quand un commandement s’égare, quand il fait fausse route, n’est-il pas légitime d’intervenir ? Soumission ou rébellion, telle est la question à laquelle chacun devra répondre en âme et conscience.
“La flotte perdue – 1. Intrépide” de Jack Campbell (25 septembre 2009)
Un siècle après sa défaite et sa disparition dans un combat spatial, le capitaine John Geary se réveille à bord d’un cuirassé dont il ne reconnaît ni l’équipage ni les coutumes. On lui apprend qu’on l’a récupéré dans une capsule d’hibernation. Il prend peu à peu conscience que la guerre à laquelle il participait et qui opposait deux blocs de la Galaxie, le Syndic et sa propre Alliance, perdure au bout de cent ans. Les belligérants ne sont pas loin d’être à genoux. La dernière manoeuvre de l’Alliance, qui se voulait décisive, a totalement échoué, et sa flotte, déjà décapitée par le Syndic, est menacée de destruction totale. Or John Geary se rend compte que son dernier geste de résistance à l’ennemi, cent ans plus tôt, a fait de lui une figure de légende : l’héroïque « Black Jack » Geary, révéré, adulé par toute l’Alliance. Ce Rip Van Winkle du futur se voit bien malgré lui confier le sort de la flotte et, partant, celui de l’Alliance. En dépit de sa réticence et de l’écoeurement que lui inspire l’idolâtrie dont il est l’objet, aura-t-il la force de ramener vers sa lointaine patrie l’armada de bâtiments blessés dont il est désormais responsable, avec la clef de l’hypernet du Syndic, atout majeur de cette guerre, cachée à bord de l’Intrépide, son vaisseau amiral.oe Un récit nerveux et palpitant, avec de vrais personnages, d’une qualité comparable aux premiers Honor Harrington. Le meilleur du space opera militaire.