En écoutant le dernier Geek Inc (n°100), il m’est revenu en mémoire une vieille série des années 80 de l’époque de la Cinquième : “Automan”… Cette série policière complètement barré met en scène Walter Nebicher, un jeune officier de police et génie d’informatique un peu timide et craintif, vient de mettre au point un procédé holographique de lutte contre le crime. Ce procédé baptisé “Automan” doit tout d’abord aider la police de Los Angeles qui tente de résoudre une mystérieuse affaire de disparition de plusieurs personnes appartenant à de grands organismes.
Cette série d’aventures teintée d’humour discret met en scène Walter Nebicher, jeune officier de la police de Los Angeles et génie de l’informatique timide et un peu craintif, qui vient de mettre au point un programme informatique d’intelligence artificielle de lutte contre le crime qui génère un hologramme baptisé « Automan » capable de quitter la nuit le monde informatique pour combattre le crime. Dans le monde réel, Automan prend l’apparence d’un agent du gouvernement du nom d’« Otto J. Mann ».
Automan doit tout d’abord aider la police de Los Angeles à résoudre une mystérieuse affaire de disparition de plusieurs personnes appartenant à de grands organismes. Grâce à l’informatique dont est doté Automan, les enquêteurs découvrent rapidement que les ravisseurs opèrent sous le couvert d’une société écran tout à fait respectable offrant des services de sécurité de toutes natures. En fait, les responsables de cette organisation kidnappent les jeunes scientifiques et les font travailler contre leur gré dans un luxueux camp de prisonniers installé dans les Alpes suisses.
Les deux hommes, dont le contraste dans la série est une source constante d’effets comiques, vont se livrer ensemble à des opérations de lutte du bien contre le mal. Ils sont aidés dans cette tâche par une voiture virtuelle (et susceptible donc d’accélérations spectaculaires) ainsi que d’un élément électronique nommé le curseur qui permet entre autres de matérialiser à la demande les objets nécessaires à l’action (par exemple un matelas qui sauve la vie d’un « méchant » tombé à terre depuis une fenêtre).
Dans le générique de fin, le curseur est indiqué comme « jouant son propre rôle ». La série n’est pas dépourvue de second degré.
(Source : Wikipedia)
Grâce à l’informatique dont est doté “Automan”, les enquêteurs découvrent rapidement que les ravisseurs opèrent sous le couvert d’une société écran tout à fait respectable offrant des services de sécurité de toute nature. En fait, les responsables de cette organisation kidnappent les jeunes scientifiques et les font travailler contre leur gré dan un luxueux camp de prisonniers installés dans les Alpes suisses. Les deux hommes, dont le contraste est dans la série une source constante d’effets comiques, vont se livrer ensemble à des opérations de lutte du bien contre le mal. Ils sont aidés dans cette tâche par une voiture virtuelle (et susceptible donc d’accélérations spectaculaires) ainsi que d’un élément électronique, nommé le curseur, qui permet entre autres de matérialiser à la demande les objets nécessaires à l’action (par exemple un matelas qui sauve la vie d’un « méchant » tombé à terre depuis une fenêtre). Dans le générique de fin, le curseur est indiqué comme jouant son propre rôle. La série n’est pas dépourvue de second degré. Distribution [modifier]